Bilal Hassani chante « Il ou Elle » en direct sur le Twitch de France Inter

Fatigué
Le jeune artiste musicien et créateur de contenu a tout récemment livré « Il ou Elle », le nouveau single de sa prochaine collection. Pour le LGBTI+ Pride Month, il l’offre en direct à Pastek, le groupe people Twitch de la chaîne France Inter.

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Bilal Hassani (Chanteur).

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Pour le dernier numéro de cette première fois de Pastek, Tanguy Pastureau et Alex Vizorek ont ​​eu la joie, jeudi 23 juin, d’inviter pour un live stream sur Twitch, sur la chaîne France Inter, le musicien vocaliste et créateur de contenus Bilal Hassani. Les deux plaisantins ont été, pour l’occasion, rejoints par Lulu, arbitre et administratrice des divertissements en ligne de France Inter, et se sont engagés, avec elle, séparément lors de leur rencontre avec la jeune artiste, à leur actualité et à leur mythique enquête de presse.
Pour la dernière fois, l’émission a profité d’une fonctionnalité sur la landing page de Twitch : plus de 4000 personnes en temps normal étaient ainsi réunies dans le live talk pour regarder, syntoniser et commenter chacune des trois successions de l’émission. show, les folles créations spontanées des animateurs, les tests mondains avec Bilal et la première diffusion absolue en direct de son titre « Il ou Elle », premier extrait d’une troisième collection à venir à l’automne. Bilal Hassani, visiteur de la semaine
A 22 ans, Bilal Hassani a désormais tout d’un symbole : symbole LGBT, symbole pop, star du web. Créateur de contenu avec plusieurs millions de supporters au total sur les organisations interpersonnelles, délégué de la France à l’Eurovision 2019, finaliste de l’émission Danse avec les stars sur TF1, le jeune chanteur a été un modèle d’opportunité et de capacité à supporter tout un âge pendant assez longtemps à ce point. Depuis son approche en 2017, Bilal prend position auprès des organisations et dans les médias sur la lutte contre la provocation et l’homophobie. Avec ses postiches, ses couplets et ses tenues qui brisent les normes d’orientation, il garantit la possibilité d’apparaître comme autre chose, le droit pour chacun de poursuivre sa vie et son mode de vie sexuel et d’orientation tel qu’il est. l’entendre. D’ailleurs, le territoire lui en est exceptionnellement reconnaissant : en 2018, il s’est illustré dans le positionnement Têtu des « 30 LGBTI+ qui font bouger la France ». Le magazine le décrivait comme « un symbole de la jeunesse LGBTI+ française », avant de le désigner, dans son numéro de fin d’année 2021, comme le « personnage de l’année ». L’écrivaine de madmoiZelle Mathilde Truong évoquait quant à elle un bel exemple qu’elle aurait pris un coup de pied de la chance d’avoir eu plus de jeunesse. En 2019, Bilal Hassani a reçu l’Out d’or du personnage LGBTI de l’année, lors de la cérémonie annuelle coordonnée par l’Association des journalistes LGBTI.
En ce Mois de la Fierté 2022, la jeune vocaliste s’apprête à livrer un troisième recueil, créé par GrandMarnier, une grande partie du couple Yelle, véhiculé par un premier single, « Il ou Elle », actuellement fait l’objet de la plus grande attention. 1 000 000 fois. Avec ce titre qui oblige manifestement à bouger les hanches, Bilal Hassani prend la question de l’orientation beaucoup plus frontale qu’auparavant. Dans une rencontre donnée récemment au magazine Têtu, il la dépeint comme obsolète. Bilal Hassani raconte avoir commencé à chanter dès l’âge de cinq ans, après avoir vécu un choc émotionnel et esthétique en découvrant à la télévision le coupé de « Spine chiller » de Michael Jackson. C’est là, si jeune, qu’il commence à caresser le rêve de devenir une popstar. Il entre au Conservatoire de l’enfant quartier à l’âge de six ans, pour y apprendre le piano, la danse, la guitare, la comédie. Pendant toute l’enfance de l’enfant, il se coordonne dans sa chambre de véritables petits spectacles et affichages pour ses peluches, sa mère, enfant playmate père ou la voisine d’entrée, avec entractes, combats de scène, changements de comportements. Dans livre enfant Singulier, paru en 2019 chez Plon, il raconte : « Un drap pour rideau, un torchon ou un plaid sur la tête qui donne un jeté dans le dos, toutes mes peluches autour de moi sur le lit et c’est parti ! »
À 11 ans, il rédige un plan de carrière, étape standard étape, censé faire de lui une étoile intergalactique amenée à chanter sur la planète Mars. Il conçoit alors que l’enfant nom de scène soit Brush, « pour les cheveux que j’aurai aspire, très aspire. Depuis toujours, je les vois comme ça. » Vers l’âge de 12 ans, donc, Bilal commence à écrire et arranger ses propres chansons tandis que sa mère, qui n’est pas reprise sa manageuse, lui offre des séances d’enregistrement en studio pour qu’il initie à enregistrer des bandes démo. À 14 ans, Bilal Hassani intègre l’Académie internationale de la Danse (AID), à Paris, une école de comédie musicale, avec des classes à horaires aménagés.
En 2015, Bilal a participé pour la deuxième fois à l’émission télévisée pour jeunes The Voice Kids. Il est apparu pour les essais pour malvoyants en interprétant « Rise Like a Phoenix » de Conchita Wurst, qu’il a dit respecter. Il rejoint ensuite le groupe de Patrick Fiori, mais waMusique et art de vivre
C’est l’année suivante, en 2016, qu’il « entre dans le superbe univers de YouTube, cette scène de narration monstre, où chacun fait vivre les autres, où s’exhiber, dans ce monde qui est fait d’images, c’est-à-dire résider ». Il crée sa propre chaîne et commence à publier des enregistrements, des récits tournants de sa vie et des fronts de chansons. La réalisation est exceptionnellement rapide : en deux mois, il a cumulé plus de 40 000 endosseurs.  » Chaque semaine, je « poste » des coupures de la vie en franglais, des gestes envers des individus similaires à moi. Des peurs, de mes playlists de milieu d’année, je me fais virer du collège, c’est mon frère, etc.  »
Boosté à la confiance, grâce à ce petit succès, il se décide à autoproduire une coupe de tête d’enfant, pour sa chanson « Want to Be », titre signifiant, une fois reprise, enfant rêve de devenir une star. Il écrit les textes qu’il présente sur un instrumental acheté en ligne pour 300 dollars. Il le met en ligne après avoir supervisé toute la création promue seule : le morceau se retrouve numéro 1 du classement Viral 50 de Spotify.
En 2017, Bilal loue la fête de son dix-huitième anniversaire et ses 100 000 supporters. En 2018, sur l’arrangement d’un spectacle, il rencontre le duo Madame Monsieur : Émilie Satt et Jean-Karl Lucas, délégués de la France à l’Eurovision 2018 avec l’air « Mercy ». Ils lui font connaître leur créateur, Guillaume Silvestri, et s’associent à la composition de la mélodie « retour sur investissement initial », le single principal de son recueil le plus mémorable. L’air a été livré en janvier 2019, a atteint 3 000 000 de vues en un demi-mois et a permis à Bilal de s’adresser à la France pour l’Eurovision 2019 à Tel-Aviv, en raison du vote du public qui l’a placé en tête du peloton lors de l’émission faite pour la détermination française : Destination Eurovision. C’est là que tout s’accélère et que la population exceptionnellement globale s’y retrouve. La collection la plus mémorable de Bilal, est apparue en avril 2019. Un demi-mois après les faits, pour la dernière du concours mondial, le 18 mai 2019, il s’est classé seizième sur 26, après une présentation devant 182 millions de téléspectateurs.

Malgier-Favager

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