Une réunion est prévue à cette date pour donner à l’exécutif l’occasion d’échanger des informations sur les recommandations récurrentes du CIEM (Conseil international pour l’exploration de la mer) sur les écosystèmes marins vulnérables dans les eaux de l’UE. Cependant, le secteur considère cette réunion comme une réunion technique par vidéoconférence à laquelle tant de personnes ont été invitées qu’il sera impossible d’avoir le débat nécessaire, déclare Ivn López, président de l’European Bottom Fishing Alliance (EBFA). son acronyme en anglais).
López a attiré l’attention sur l’incohérence d’essayer d’appliquer les fermetures dans les zones désignées sans même les examiner et les mettre en contraste avec le nouveau rapport contenant les recommandations du CIEM. C’est ignorer l’aspect le plus grave qui est que, selon les parties prenantes, l’impact environnemental de cette décision n’a pas été évalué, et encore moins l’impact socio-économique des engins de pêche fixes tels que les palangres hauturières ou les volants d’inertie. Seuls des calculs de l’empreinte de pêche du chalutier ont été effectués, ce qui, selon le secteur, devrait être un argument suffisant pour contraindre l’exécutif à s’abstenir d’appliquer ces interdictions. De plus, il existe des défauts de masse – affirment-ils – tels que des zones d’interaction identifiées avec des arts fixes qui diffèrent des vrais.
Un océanographe évalue pour la première fois l’impact de la pêche de fond dans le Golfe de Gascogne
Les personnes concernées ont demandé une réunion avec la direction générale de la pêche durable du ministère en tant que réunion préparatoire afin de souligner les lacunes contenues dans la proposition et de présenter des arguments supplémentaires à la délégation espagnole, qui tente de persuader la Commission d’éviter d’appliquer les interdictions ou . introduire au moins une flexibilité qui minimise l’impact sur les flottes pêchant dans les eaux du Portugal, de l’Espagne, de la France et de l’Irlande.
Rencontre avec Vitcheva
Les Galiciens concernés ont la possibilité de déposer leurs réclamations auprès de la DG-Mare avant le 26 juillet. Et c’est la Conselleira de Mar, Quintana roseles a convoqués à une réunion à la demande du directeur général des affaires maritimes, Charlina Vitcheva, qui analyse la mesure controversée, qui déplacerait plus d’un millier de bateaux de 94 zones et en blesserait bien d’autres alors que les efforts se concentreraient sur d’autres zones de la zone de chalandise. La rencontre est prévue mardi prochain. Soyez par vidéoconférence depuis Vigo.
La nourriture et les emplois sont en danger car ces 94 zones sont fermées à la pêche de fond
Si personne ne résout le problème, la Commission européenne interdira ce mardi la pêche avec tout engin en contact avec le fond marin dans 94 zones Espagne, Portugal, France et Irlande. Pour protéger les écosystèmes marins vulnérables, où se trouvent ou pourraient se trouver des coraux ou des éponges, entre autres, il veut boucler des pans de falaises qui marquent la fin du plateau continental, entre 400 et 800 mètres de profondeur. Elle affecte les navires côtiers et gran sol pêchant avec des palangres à hameçons, des chaluts ou d’autres poissons qui touchent le fond marin, même s’ils ne sont connectés qu’aux ancres.
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