Le PNV doute qu’il y ait un candidat après le premier tour : « Les négociations n’ont pas encore commencé, il faut du temps pour mûrir »
Le porte-parole du PNV, Aitor Esteban, doute que le roi propose mardi un candidat à la présidence du gouvernement, à la clôture du cycle de consultations qui débute ce lundi matin, et estime qu’il est prématuré qu’aucun candidat ne se soit présenté depuis « À ce jour, personne n’a soutien. » La raison ? Car « les négociations autour de cette investiture n’ont même pas encore commencé », comme il l’a dit dans une interview sur Cadena SER. « C’est une réunion convoquée à la hâte », s’est-il enthousiasmé, « nous n’avons même pas commencé à en parler. »
« Je ne sais pas si le roi dira mardi quel candidat il propose. L’incertitude sur les majorités est absolue. Je ne serais pas surpris qu’il y ait une deuxième série de contacts entre le roi et les partis », a-t-il déclaré. « Je comprends qu’aucun candidat n’a de soutien aujourd’hui », a-t-il déclaré.
Lorsqu’on lui a demandé quand il pourrait y avoir une majorité articulée, il a dit qu’il fallait se dépêcher « aussi longtemps que nécessaire ». « Il faut se donner du temps pour travailler, mûrir, il y aura des rencontres, des discussions… Plus tard, les choses s’éclairciront », a-t-il dit, excluant un « investissement ». Foudre ». En ce sens, il estime probable que le pays devra faire face à quelques mois sans gouvernement, comme cela s’est produit en 2016, lorsqu’il y a eu une reprise des élections, qu’il n’a pas exclue, mais qu’il considère comme un scénario qui doit être mis en œuvre doit devenir. évitée.
Esteban affirme que désigner un candidat « hâtivement » ne signifie pas qu’il y a plus de possibilités d’investiture et qu’il n’est pas bon de faire pression sur les partis. « Tant que vous ne voulez pas faire pression sur les parties, je ne vois pas l’intérêt » de mener la ronde de contact.
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