Les échappés se sont regroupés, et le groupe sorti en bas de la pente, et le peloton de tête avec Evenpeoel et Bardet, était composé de près de quarante coureurs. Avec une avance de deux minutes, il semblait clair que le nouvel arc-en-ciel était devant.
Il a été interpellé par une accélération du Français Madouas, qui avait plusieurs coéquipiers en tête de course, en tête du peloton pour réduire l’écart de deux minutes à une. Un mouvement auquel Soler était attentif mais qui manquait de continuité alors que le peloton ralentissait et que l’échappée reprenait rapidement l’avance de deux minutes.
attaque ultime
Ah, avec le grand groupe perdant beaucoup de ses options et l’évasion presque réglée, c’était le moment où Evenepoel n’a pas hésité. Un footballeur comme l’était Remco, si un ballon lui tombe dessus dans la surface de réparation, il l’achève. Cela est presque venu d’une volée au fort Belge et il l’a terminé en l’obtenant avec Lutsenko. Et puis laissé le Kazakh dans l’avant-dernière ascension du Pleasant Wall.
Curieusement, par derrière, c’est Van Aert qui accélère dans le peloton pour le dernier tour, pensant peut-être à un podium avec son coéquipier. Malgré tous les gens entre les deux.
Le calcul du deuxième grand prétendant belge n’était pas mauvais, ce qui était tout à fait juste, car l’équipe principale a chassé les derniers échappés presque au-delà de la ligne d’arrivée. Mais il n’avait pas les jambes pour saisir l’occasion car il a été dépassé par son coéquipier jumbo Visma Laporte et l’espoir local Matthews. Qui a pris l’argent et le bronze. L’or était réservé à Evenepoel, un miracle et sa performance inoubliable.
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