Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesu, a confirmé ce mercredi que certains cas de contagion de variole du singe chez les enfants de moins de 18 ans, deux sont à l’étude au Royaume-Uni et la possibilité de plus en Espagne et en France. Aucun d’entre eux n’est grave, bien que les experts de l’OMS aient rappelé que les enfants, comme les femmes enceintes, constituent un groupe à risque « très préoccupant ». « Les cas étaient bénins, mais nous devons garder à l’esprit qu’il s’agit de groupes vulnérables, nous devons donc prendre toutes les mesures de santé publique pour empêcher la propagation », a souligné Abdi Mahamud, responsable des incidents à l’OMS.
Jusqu’à présent, le cas confirmés de monkeypox provenaient principalement de jeunes hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes. Entre le 1er janvier et le 22 juin, plus de 3 400 cas ont été détectés dans 50 pays et un décès. Comme l’a rappelé Tedros, le Comité d’urgence a indiqué cette semaine que l’épidémie « ne constitue pas une urgence », une urgence de santé publique de portée internationale, bien que le chef de l’OMS ait indiqué qu’il convoquerait à nouveau le groupe pour examiner l’évolution du virus. infections.
En attendant, les pays doivent augmenter leurs surveillance épidémiologique, testez dès que possible et continuez à mettre en œuvre les meilleures pratiques pour gérer la réponse au virus. Nous devons garantir l’accès aux vaccins et aux antiviraux, procéder à une collecte systématique des données cliniques et rendre compte efficacement des recommandations pour éviter la contagion », s’est engagé Tedros.
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