« The Minions 2 : Once Upon a Time Gru » : que disent les critiques ?

A moins que vous n’ayez pas d’enfants autour de vous, vous pouviez difficilement passer à côté du phénomène « Minion » de ces dernières années. Ces amusants personnages jaunes minimalistes avec des lunettes de soudeur, qui font beaucoup d’idioties et ont leur propre langage, sont apparus dans « Moi, révoltant et réellement impliquant » en 2010 où ils ont rempli comme un repoussoir le diabolique Gru.
Si les Minions apparaissaient dans les trois morceaux de « Wretched Me », ils obtenaient la consécration en 2015 avec un premier film animé qui leur était complètement offert. Kevin, Stuart et Bob ont fait un véritable tsunami : le film a rapporté plus d’un milliard de dollars de revenus au groupe américano-français-japonais qui l’a planifié.

« Les Minions 2 » raconte le début de leur relation avec Gru alors qu’il était encore jeune. Nous sommes dans les années 70 et le jeune Gru fantasme de rejoindre le rassemblement des meilleurs mécréants de la planète. Cependant, la dernière option est résolue à ne pas lui simplifier la tâche d’être un super mécréant. Les Minions l’aideront dans cette mission.
Le Parisien pense à ce deuxième volet plus fructueux que le premier avec des scènes astucieuses où ils pilotent un avion ou chantent, cependant nos partenaires espèrent qu’en « prenant un excès de hasard en transformant les Minions en événements principaux, le film trouve comment faire débilitants ».

Le Figaro salue « un petit bijou [qui] joue la carte d’une activité constante sans limite, saupoudrée d’humour incendiaire et référentiel, qui explose comme la dernière liasse d’un spectacle lumineux béat ».

Pour le Journal du Dimanche, « la frénésie qui se dégage de cette entreprise est satisfaisante ». Le Point a vu un film « divertissant et réussi ». Télé 7 Jours y voit « un cocktail d’été décent pour les jeunes : vivifiant, beau et super tonique ».

Le magazine Première est plus nuancé : « Les Minions 2 finissent par conseiller juste son impuissance à se rétablir et à innover ».

Malgier-Favager

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