Meltio recrute également la Marine Nationale avec sa technologie d’impression 3D métal

La Marine nationale française a validé l’utilisation de la technologie de fabrication additive développée par Meltio pour des manœuvres réelles. L’US Navy avait auparavant expédié sur un navire de guerre l’une des imprimantes 3D métal de la multinationale espagnole basée à Linares (Jaén). Ses solutions technologiques sont également utilisées par l’armée espagnole dans la réparation et la fabrication de pièces métalliques.

La société rapporte actuellement, armées d’autres pays Ils sont en train de valider leur technologie de fabrication additive. Cet intérêt du secteur de la défense ouvre également la porte aux entreprises du secteur Secteur aérospatial qui valident déjà la technologie de la multinationale espagnole.


Les manœuvres


Lors des manœuvres Ursa Minor – un exercice de maintenance opérationnelle navale de haute intensité organisé par le Fleet Support Service (SSF) – le Porte-avions français Charles de Gaulle mené une expérimentation spéciale de réparation de crevaison dans les ateliers du département Logistique maritime à Toulon. L’imprimante 3D métal de Meltio est installée à terre à l’Arsenal de Toulon et reçoit les besoins de fabrication et de réparation de pièces métalliques du porte-avions.


Le ministère de la Défense de la République française a rendu public cet événement et évalué Efficacité de la solution et confirme que la solution Meltio continue d’être validée. « L’exercice était l’un Succès. « Nous prévoyons de réaliser davantage d’exercices de ce type dans les prochains mois, et la Marine Nationale réfléchit à la possibilité d’intégrer ce type d’imprimante 3D métal à bord dans le futur », explique J.ean-Marc QuenezDirecteur de l’Innovation et de la Fabrication Additive au Service de Soutien de la Flotte (SSF) du Ministère de la Défense.


« L’utilisation de l’impression 3D métal dans cet exercice a permis de livrer et de réparer des pièces entièrement scellées pour diverses applications industrielles. Ces pièces sont fabriquées avec un faibles coûts de production par centimètre cube. À côté de la Rapidité d’exécution et efficacité sont conçus de manière à ce que la production soit plus compétitive qu’avec les méthodes de fabrication traditionnelles », souligne la Marine nationale.


De nombreuses possibilités


L’imprimante 3D Meltio fonctionne avec différents types de matériaux, tels que les aciers inoxydables, le titane, l’Inconel, l’acier doux et l’acier à outils. Les possibilités qu’offre cette technologie sont immenses. Récemment, le projet de recherche ATILA l’a annoncé Fabrication d’implants biomédicaux d’alliages de titane produits avec les solutions Meltio. Le centre de recherche valencien Aidimme a déjà créé un prototype.


Ce projet de recherche, formé par un consortium de différentes entreprises, étudie les diverses utilisations et applications des implants biomédicaux en titane Ti64-ELI. Pour la première fois en Espagne, les applications pouvant être créées avec ce Titanium sont à l’étude. Pièces imprimées en 3D grâce à la technologie du fil de soudagequi, contrairement à d’autres technologies comme la poudre métallique pour la production de pièces 3D, est beaucoup plus efficace, réalise des processus moins nocifs pour l’environnement et produit moins de déchets de matière lors de la manipulation, ce qui contribue à réduire l’empreinte carbone de cette technologie.




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