Il Chef de Républicains conservateurs français (LR) j’en ai plaidé pour un ce mardi Alliance avec le l’extrême droite de Marine Le Pen, Regroupement national, dans le élections législatives anticipées le 30 juinet brise ainsi le cordon sanitaire contre l’extrême droite, active depuis des années. Une annonce qui plonge la France dans une crise politique sans précédent et fragilise encore davantage la droite modérée.
Le message de Ciotti a suscité de vives critiques au sein du parti, qu’il considère comme un manque de loyauté envers son propre peuple : « Honte à vous, M. Ciotti ! Sandrine Rousseau a interpellé le président, qui répondait aux questions des journalistes devant le siège du parti. Parallèlement, le chef du groupe de l’Assemblée nationale a insisté sur le fait qu’Éric Ciotti « doit renoncer à la présidence » ; la fête.
Avec cette alliance, Ciotti ambitionne de réélire les 61 députés actuels de son parti, avec le soutien du Regroupement National, mais pas sans le soutien des députés « lépénistes ». dans d’autres circonscriptions pour éviter les compétitions. « Aujourd’hui, les Républicains sont trop faibles pour opposer deux blocs trop dangereux (…). D’un côté, il y a l’alliance contre nature de rebelles qui « défendent des idées qui confinent à l’antisémitisme. De l’autre, le bloc macroniste qui a amené le pays là où il est aujourd’hui », a expliqué Ciotti dans une interview à la chaîne française TF1.
Jusqu’à présent, les Républicains ont eu des divergences significatives avec le macronisme, mais ils n’ont jamais atteint le point de non-retour et dans cette situation, il est impossible de ne pas se souvenir de Jacques Chirac, qui, il y a un peu plus de 20 ans, souhaitait un jour ce débat avec Jean-Marie Le Pen, et maintenant son camp envisage de serrer la main d’un extrémiste de droite blanchi à la chaux, mais cela reste le même qu’il y a vingt ans.
La question est désormais de savoir si le reste des Républicains rejoindra les macronistes ou s’ils s’en éloigneront. Plus précisément, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, autre poids lourd du gouvernement Macron, a fermement condamné la décision de Ciotti, la qualifiant de « honte pour la famille gaulliste ». « Éric Ciotti signe les Accords de Munich et fait honte à la famille gaulliste en embrassant Marine Le Pen. C’est dommage », a-t-il déclaré.
Les premiers sondages avec un vainqueur clair
C’est ce que montrent les premiers sondages pour les prochaines élections législatives anticipées. le grand vainqueur de l’extrême droite de Le Pen avec 33 à 34% de soutien, suivie par la gauche avec 22% et en troisième position se trouve la majorité présidentielle (19%). Lors de ces élections législatives, le Regroupement National obtiendrait une majorité relative de 235 sièges et, bien que ce ne soit pas une majorité absolue, ce serait une victoire importante car il gagnerait 146 sièges à la fois. En 2022, il y en avait 89.
Face à la montée imparable de l’extrême droite ce lundi Des dizaines de personnes rassemblées place de la République de Paris pour protester contre la décision du président Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale et de nouvelles manifestations sont attendues tout au long de la semaine. « Il est historiquement irresponsable de convoquer des élections à une époque où l’extrême droite est si forte », a expliqué le politologue Arsenio Cuenca pour El Periódico, du même groupe éditorial.
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