L’équipe espagnole de handball a subi sa première défaite en Coupe du monde en Pologne et en Suède après avoir perdu 26:28 face à la France ce dimanchedans un match dans lequel les deux équipes, avec leur billet pour les quarts de finale déjà assuré, semblaient à tout moment penser davantage à leurs engagements futurs.
?? Monde @handball2023
?? Tour principal – J.3
?? 60′ – fin
?? Espagne ???? 26:28 ???? France
?? TAURON Arena Cracovie
?? @téléports??? L’Espagne a concédé sa première défaite à l’issue du tour principal.
# ?? #Hispanique#coller ensemble#POLSWE2023#Seispanicpic.twitter.com/pJRnz5VT7u
— RFEBalonmano (@RFEBalonmano) 22 janvier 2023
A commencer par celui que les Espagnols joueront mercredi prochain à Gdańsk, où les « Hispaniques » rencontreront le vainqueur du duel gagnant qui affrontera l’Allemagne et la Norvège ce lundi après avoir terminé deuxième du groupe derrière l’équipe de France.
Une première place qui à tout autre moment garantirait a priori un passage en quart de finale plus accessible, mais pas cette fois compte tenu de la totalité des rivaux possibles, l’Allemagne ou la Norvège, qui pourront « choisir » un adversaire.
Des circonstances qui, comme l’a décrit à juste titre la star française Nikola Karabatic, ont fait de l’affrontement un « bon match amical » que les deux équipes ont affronté pour les quarts de finale avec pour objectif principal « travailler et gagner en confiance ».
L’entraîneur espagnol Jordi Ribera n’a pas hésité à réserver le défenseur central Agustín Casaso, qui ne s’était pas entraîné samedi à cause d’un coup de genou, par précaution, l’entraîneur français Nikola Karabatic a quitté l’effectif, qui avait déjà raté le dernier match contre l’Iran car d’un pied meurtri.
Dès le départ, l’ailier Dika Mem s’était bien remis des douleurs abdominales qui l’avaient éloigné de l’équipe depuis la première journée contre la Pologne.
En effet, le joueur du Barça a marqué près de la moitié des cinq buts marqués par la France en milieu de première mi-temps. Mais si Dika Mem a un bras gauche exceptionnel, l’ailier espagnol Imanol Garciandia, auteur de trois des quatre premiers buts des Hispanos, n’est pas en reste.
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Des buts qui, combinés aux arrêts de Rodrigo Corrales, qui a réalisé cinq interventions après seulement huit minutes de jeu, ont permis à l’Espagne de mener (4-3) au tableau d’affichage.
Un revenu qui a complètement disparu avec le mouvement offensif à sept joueurs de champ proposé par Jordi Ribera et qui ne pouvait pas avoir de pires conséquences pour l’équipe espagnole qui a enchaîné une défaite sur l’autre qui a permis à la France de s’échapper en gardien (6-9).
Un résultat qui obligeait le sélectionneur espagnol à se corriger, qui à l’instant de repartir pour miser sur l’égalité en attaque a vu les « Hispaniques » égaliser à nouveau à huit minutes de la fin (9-9). .
Moment où ni les Espagnols ni les Français n’ont réussi à se détacher d’un match « gant blanc » au tableau d’affichage (13-13), comme en témoigne la seule exclusion qui a mis fin à la première mi-temps, l’Espagnol Miguel Sánchez-Migallón en raison de la chute, la dernière contre-attaque au visage du gardien.
Mais il y a toujours quelque chose de spécial à gagner contre la France, ou du moins c’est ce que les Espagnols semblaient penser et ont commencé la seconde mi-temps avec un point d’intensité en plus.
Comme le confirment les trois buts d’avance (20:17) avec lesquels les « Hispaniques » sont entrés en deuxième période après onze minutes et qui ont testé si la France était vraiment prête à dépenser plus d’énergie que nécessaire pour viser le triomphe.
Un effort auquel les champions olympiques semblaient prêts, et menés par un magnifique Nedim Remili qui ne cesse de grandir d’année en année, ils ont réussi à égaliser à nouveau à moins d’un quart d’heure de la fin (22:22).
Une égalité s’est finalement tranchée en faveur de l’équipe de France, hors Jorge Maqueda, pénalisé pour la deuxième fois de la partie pour un faux remplacement avec deux minutes, et qui a permis à l’équipe de Guillaume Gille de prendre une avance de trois buts (24e minute). 27) cinq minutes avant la fin d’un duel.
FICHE DE JEU
26 – Espagne: Obstacles; Solé (1), Garciandia (3), Sánchez-Migallón (1), Gideón Guardiola (1), Cañellas (3) et Dani Fernández (7.3 p) -équipe de départ- Pérez de Vargas (ps), Maqueda (2) , Ángel Fernández (-), Alex Dujshebaev (2), Figueras (-), Serdio (4), Valera (), Dani Dujshebaev (1) et Odriozola (1)
28 – France: Gérard; Lenne (-), Mem (4), Remili (4), Briet (4), Grebille (3) et Fabregas (2) -Equipe de départ- Desbonnet (ps), Lagarde (-), Prandi (3), Richardson ( – ), Tournat (3), Mahé (4, 3), Luka Karabatic (-), Porte (1) et Nahi (-)
Marquer toutes les cinq minutes: 3-2, 4-4, 6-5, 7-9, 10-12 et 13-13 (break) 17-15, 19-16, 22-20, 24-24, 24-27 et 26-28 (Final)
arbitre: Nachevski et Nikolov (MKD). Ils ont écarté Sánchez-Migallón (2), Maqueda (2) et Cañellas pour l’Espagne pendant deux minutes ; et Luka Karabatic (2) et Briet pour la France.
incidents: Le match de la troisième et dernière journée du groupe I de la deuxième phase de la Coupe du monde entre la Pologne et la Suède s’est déroulé dans la Tauron Arena de Cracovie (Pologne) devant environ 7 000 spectateurs.
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