Gipuzkoa, territoire mondial du handball

La dernière fois que trois handballeurs du Gipuzkoa ont participé à une candidature pour un Championnat d’Europe, une Coupe du Monde ou des Jeux olympiques, Thomas Schwenson Il était gardien de but pour la Suède. Les statistiques se répètent plus de 5 000 jours plus tard Kauldi Odriozola, Inaki Pécina et Imanol García à la Coupe du monde en Pologne et en Suède.

Le Zumaiarra, l’Irundarra et l’Urretxuarra reprendront la représentation du Gipuzkoa dans l’équipe espagnole qui s’est bloquée en janvier 2008 et qui surtout Julen Aginagalde maintenu dans les principaux rendez-vous.

Deux Gipuzkoans –Aginagalde et Mikel Agirrezabalaga à Londres 2012, par exemple – mais le nombre n’a été dépassé dans aucun tournoi officiel depuis 2008.

Oui, ils l’ont fait dans des compétitions non officielles ils anticipaient ce qui va se passer en Pologne et en Suède. Tracé dans une sorte de chemin Jordy RiberaEntraîneur mais aussi directeur technique, quatre Gipuzkoans se sont partagé l’équipe nationale senior dans des tournois non officiels en 2019 et 2020.

Les quatre nations de San Juan (Argentine) et Tarnów (Pologne), le Qatar et Christmas International à Moscou ont réuni ces trois handballeurs et l’actuel capitaine de Bidasotarra. Jon Azkue. Trois d’entre eux atteignent pour la première fois le but de la Coupe du monde, signe des intentions de Ribera, qui n’hésite pas à faire confiance à des talents nouveaux mais expérimentés.

Odriozola et Peciña ont fait leurs débuts en Championnat d’Europe il y a un an et font leurs débuts en Coupe du monde à seulement 26 ans, le premier et le second en route vers 35 ans. Imanol Garciandia aura 28 ans en avril.

Tendance générale dans l’équipe espagnole, les trois jouent en dehors de la ligue Asobal : les deux premiers, avec un arrière-plan de Bidasotarra, en France (nantais Oui Chambéry), tandis que l’Urretxuarra se déroule en Hongrie (Choisissez Szeged).

Une réalité que Gonzalo Pérez de Vargas a défiée au Barça. Dans le cas des Gipuzkoans, la reprise progressive de la Bidassoa Irun Depuis qu’ils étaient au bord de la disparition en 2011 et le projet de formation réussi actuel – avec cinq jeunes d’Usurbil, Errenteria, Elgoibar, Zumaia et Etxebarri (Bizkaia) appelés par l’équipe junior – ont permis au talent du Gipuzkoan (et basque) de grandir sans grandir pour quitter le territoire.

Jusqu’à ce que l’ordre européen dominant soit enfin imposé, une réalité différente de celle d’il y a quelques années lorsque, entre autres, les joueurs Ander Ugarte, Markel Beltza ou Aginagalde lui-même ont emprunté d’autres voies pour grandir dans d’autres équipes d’Asobal comme l’ademar. Aujourd’hui ce saut est plus tard et au nord des Pyrénées.

Si Jordi Ribera décide de leur donner l’alternative, y compris les trois lors du premier match contre le Monténégro, cela fera 5 103 jours, presque quatorze ans, depuis l’autre Rivera, Valero dans ce cas, il avait trois Gipuzkoans sur sa liste.

a été Aginagalde Oui antonio asiatique – Débuts dans un tournoi majeur, les Championnats d’Europe en Norvège – et Jon Belaustegi, qui a dit au revoir à l’équipe nationale lors des Jeux de Pékin cette année-là. Le dernier match à trois du Gipuzkoa se jouera le 24 janvier 2008 contre l’Islande à Trondheim, ville où le handball du Gipuzkoa a écrit une de ses grandes pages cette saison, paradoxalement de la vie, lorsque Bidasoa Irun a pris sa retraite avec Aginagalde dans ses rangs aux tirs au but. Kolstad.

Aucune marge d’erreur

Ce jeudi, trois Gipuzkoans se retrouvent dans un grand championnat inscrit dans une équipe avec de nombreuses chances de succès mais sans la pression des trois grands favoris. Néanmoins, ils devraient s’imposer face au Monténégro (20h30, Teledeporte) à leurs débuts pour atteindre le tour principal avec leurs options intactes : les points qu’ils ont marqués lors de la première phase contre les deux autres rivaux qualifiés seront sauvés.

Avec cette clé en tête, l’équipe espagnole sautera sur le terrain de la Tauron Arena de Cracovie pour vaincre le Monténégro, leur premier rival le plus difficile avec le Chili, une équipe qu’Eibartarra mène sur une grande scène pour la première fois. Aïtor Etxaburuavec la Bidasotarra Rodrigo Salinas en tant que chef d’escouade. Chili-Iran se jouera à 18h00.

Bidasotarras à la Coupe du monde

Après les débuts de Jakub Skrzyniarz ce mercredi en Pologne 24-26 France, deux bidasotarras entrent en action ce jeudi : Rodrigo Salinas (Chili-Iran, 18h00) et Matheus Francisco de Silvaavec le duel devant l’autre hôtesse (Suède-Brésil, 20h30).

Le quatrième Bidasotarra à participer à la Coupe du monde est le gardien franco-tunisien Mehdi Harbaouisera donnée contre Bahreïn (18h00) vendredi.

Roselle Lémieux

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