La Banque centrale française dévoile des expériences avec la technologie blockchain

Il Banque centrale de France a publié un communiqué le 15 décembre donnant quelques détails sur les tests qu’il menait avec le Technologie du grand livre distribué.

Ces tests ont été réalisés dans le but de déterminer les aspects négatifs et positifs de l’utilisation de la blockchain en matière liée au SEPA (Single Euro Payments Area).

Les études ont débuté en juillet 2016 en collaboration avec la startup Labo Blockchain et le Dépôt et boîte de livraisonD’autres sociétés et groupes bancaires, non cités dans le communiqué, y ont également participé.

Chaque institution impliquée dans l’expérimentation contribue à parvenir à un consensus par son analyse en ce qui concerne l’utilisation de la technologie à l’avenir. Dans l’annonce, la banque a déclaré : « Cette expérience permet aux banques participantes de partager leur analyse concernant l’impact et les opportunités de cette technologie. »

En fait, sur le site du SEPAIl convient de noter que si les paiements en espèces fonctionnent bien sur tout le territoire, les paiements par carte et par virement électronique ne sont pas rapides et sont assez problématiques. La raison pour laquelle la France étudie la blockchain et propose une solution possible est l’utilisation hypothétique de la technologie. Faciliter les paiements dans les zones où l’euro est la monnaie.

À l’intérieur déclaration officielle La banque affirme que l’essai a culminé en octobre avec la création de prototypes d’outils destinés, entre autres, à la gestion des identifiants de crédit. Il est également à noter que plus de détails et de spécifications seront annoncés dans les prochains mois de 2017.

De même, la Banque centrale française avait déclaré quelques mois plus tôt qu’une étude plus approfondie de la question était nécessaire, car il était crucial d’examiner les avantages et les inconvénients de l’introduction d’une telle innovation. Surtout lorsque l’on prend en compte le système décentralisé qu’offre la technologie.

En revanche, ce n’est pas le premier contact de la France avec le monde de la technologie blockchain, puisque l’École supérieure d’ingénieurs Léonard de Vinci (ESILV) Décidé en début d’année commence à enregistrer ses diplômes universitaires sur la blockchain, devenant ainsi le premier établissement universitaire à le faire. Cette mesure vise à prévenir la falsification de diplômes à laquelle sont confrontés de nombreux établissements universitaires.

Curieusement, la France a plutôt bien adopté l’utilisation du Bitcoin depuis la création de la Fondation française le 17 novembre de cette année. Le Cercle du Coin inauguré toute une rue avec des magasins Ils acceptent les paiements en BitcoinsLe boulevard en question est situé dans le « Passage du Grand-Cer ».

Cependant, le fait est que le La banque centrale du pays prend cette initiative, ouvrant la voie à de nombreuses autres applications de la technologie des registres distribués. Dans tous les cas, cela augmente les possibilités d’utiliser la technologie à d’autres fins et d’introduire des crypto-monnaies.

Malgier-Favager

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