Pacte historique : histoire des luttes sur cette plateforme – congrès – politique

La bataille entre deux de ses représentants à la chambre pour la présidence de la septième commission de la chambre semble être la dernière lutte interne au sein du pacte historique, sa plate-forme politique d’accompagnement le souhait présidentiel de l’ancien sénateur Gustavo Petro.

Les représentants de la Chambre María Fernanda Carrascal et Agmeth Escaftous deux issus de cette coalition, impliquée dans une querelle sur cette dignité, qui a finalement été remportée par le député de la côte caraïbe, élu ce mercredi à la présidence de cette cellule législative.

(Dans d’autres nouvelles : Choix de l’auditeur : c’est le roman d’une nouvelle commission)

« Je vous présente le nouveau manchon : @agmethescaf. Il est passé par @ColombiaHumana_ et @PactoCol pour rester à la Présidence de la Septième Commission avec qui il avait pris des dispositions Conservateur, libéral, changement radical et centre démocratique. Il a gagné par 12 voix », a déclaré Carrascal.

« Scaf manchette ? Pas même le Pepa de celui-ci. La confiance ne fait que commencer et nous devons nous concentrer sur le travail pour les gens, et non sur Twitter. pour quelque chose @petrogustavo m’a amené à ce projet. #DignifiedWork aura une personne en deuil à la tête de la septième commission », a répondu Escaf.

Agmeth Escaf et María Fernanda Carrascal, représentantes de la Chambre du Pacte historique.

Photo:

Réseaux sociaux des représentants

L’affrontement entre ces deux membres du Pacte historique vient s’ajouter à d’autres luttes qui ont eu lieu dans le passé et qui ont lié d’autres parlementaires de la plate-forme politique. Parmi ceux dont on se souvient, il y a celui qu’ils ont entretenu Les sénateurs Roy Barreras, président du Congrès, et Gustavo Bolívar, sénateur proche de Petro.

Bolívar a critiqué certaines des actions de Barrera, admettant même qu’il ne l’avait pas élu président du Sénat.

Lorsque des vidéos ont été divulguées de divers membres de la campagne Petro – dont Barreras – complotant des attaques contre certains de ses rivaux présidentiels, Bolívar a dit qu’il avait honte de ce qui s’était passé et dit qu’il y avait des « personnes » qui avaient quelque chose à ajouter.

Gustavo Bolivar et Roy Barreras

Gustavo Bolívar et Roy Barreras, sénateurs du Pacte historique.

« Il n’y a pas de honte à avoir (…) Ne tombez pas dans le piège. La campagne est victime de hacks et d’infiltrations illégales. C’est le Watergate. Espionner, enregistrer et filtrer les conversations privées. C’est un crime. On parle. Ils trichent et commettent des crimes », a répondu Barreras.

Et les luttes du Pacte historique remontent plus loin. Lorsque la liste pour le Sénat a été formée, il y a eu la colère du peuple Francia Márquez, vice-présidente élue de Petropar l’ordre dans lequel certains candidats au Congrès sont apparus.

Selon elle, on leur avait promis que deux de leurs puces seraient en tête de liste et cela n’a pas été tenu. La colère l’a amenée à passer quelques jours à évaluer où elle se trouvait dans cette plate-forme politique, ce qui l’a finalement amenée à la vice-présidence.

Petro et Piedad Cordoue

Gustavo Petro et Piedad Cordoue.

Photo:

Twitter @PoderCiudadanoL

Une autre des confrontations se fait au détriment de Petro et le sénateur Piedad Córdoba, élus dans le Pacte historiquequi a pris place dans une clinique de Medellín il y a quelques jours.

Fin mai, Piedad a eu un incident dans un aéroport du Honduras où elle a été arrêtée avec 68 000 dollars qu’elle aurait omis de signaler. Par la suite, Petro lui a demandé de rester à l’écart de la campagne et a critiqué la députée dans plusieurs interviews.

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Adrien Richard

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