Les courses de side-cars ne sont pas bien connues dans le monde automobile. Et c’est que les courses se réduisent à la France, l’Angleterre et la Hollande. Quim Fenoy a réussi à devenir le premier Espagnol à remporter le Championnat de France de side-car.
Quand vous pensez à un side-car, vous pensez peut-être à une balade en douceur sur une route bucolique, mais rien n’est plus éloigné de la vérité. Concurrents dans les courses de side-car và plus de 250 kilomètres à l’heure et ils y jouentà la fois lui et son partenaire, à chaque tour.
« Le passager est à 5 centimètres du sol », explique Quim Fenoy.
Il a dirigé la plate-forme pendant cinq ans jusqu’à ce qu’il commence à utiliser le guidon du side-car.
« Je n’avais aucune expérience en tant que pilote, je ne sais pas comment l’expliquer. Étrange? La question est de savoir si j’étais bon là-dedans », avoue le pilote catalan.
Il était si doué que Quim Fenoy a remporté le championnat de France des spécialités cette saison-là. Et il l’a fait avec un budget quasi nul, un exploit considérant qu’un side-car peut coûter 35 000 €.
« Un châssis monocoque en aluminium aéronautique est utilisédit Fenoy.
Avec ce type de side-car, vous pouvez atteindre 260 kilomètres par heure. Quim a dû conduire une voiture de prêt en France. Votre passager est français. Avec qui il doit être parfaitement assorti.
« Ça fait un contrepoids et la roue motrice a plus d’adhérence, Faites glisser le side-car dans la courbedit Quim Fenoy.
Problème pour le pilote qui perd son partenaire en route. Dans ce cas, le risque de se renverser avec le side-car est très élevé, comme l’explique Quim Fenoy.
Ce n’est qu’avec une exposition annuelle en Aragon, à Motorland, que les courses se réduisent à la France, l’Angleterre et la Hollande. Et Quim entre sans aide.
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