Paris, le 6 septembre (EFE) Météo France.
Ils font partie des endroits qui ont battu des records ces dernières heures : la ville idyllique d’Annecy, près de la frontière suisse, qui a atteint 31,6 degrés ; Saint-Brieuc, au cœur de la Bretagne (nord-ouest), 31,3 ; et Château-Chinon, dans la région centrale Bourgogne-Franche-Comté, 33,7.
Les valeurs minimales étaient également très élevées, comparables aux nuits tropicales. A Lyon, l’une des plus grandes villes du pays, la température à l’aéroport international Saint-Exupéry n’est pas descendue en dessous de 22,3 degrés la nuit.
Les températures moyennes à cette période de l’année, pratiquement deux semaines avant la fin de l’été, étaient particulièrement élevées à Paris. La température du mercure est restée supérieure à 30 degrés pendant plus de cinq jours, ce qui a entraîné des accumulations d’ozone dans l’air supérieures à la limite supérieure de 180 µg/m³.
Météo France a déjà rappelé que cet été météorologique (juin, juillet et août) était le quatrième plus chaud depuis le début du XXe siècle, derrière seulement ceux de 2003, 2018 et 2022.
Avec cette vague extraordinaire, on ne constate pas de véritable refroidissement, du moins avant dimanche.
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