La France s’éloigne – El Sol de México

Évêque émérite de la SCLC

VOIR

Le Congrès français a voté à une large majorité l’inclusion du soi-disant droit à l’avortement dans sa constitution, le considérant comme une réalisation du progrès social et de la modernité culturelle. De nombreuses personnes ont salué cette décision et espèrent que les parlements d’autres pays feront de même. Mais d’autres, en France même et ailleurs, l’ont regretté car nous le considérons comme un revers pour l’humanité. Avoir le droit constitutionnel de tuer un être humain innocent et sans défense semble être une malheureuse chute. Les femmes peuvent avoir le droit de faire ce qu’elles veulent de leur corps, même si cela a aussi des limites éthiques, mais ce n’est pas seulement leur corps qui entre en jeu, mais un autre être humain en développement. Nous arrivons à l’humiliation lorsqu’ils prônent l’emprisonnement de celui qui tue un chien et qu’ils promeuvent le meurtre gratuit d’un être humain. Un chien vaut-il plus qu’un humain ? Est-ce un progrès dans l’humanité ?

En plusieurs endroits, à l’occasion du 8 mars, Journée internationale de la femme, certaines d’entre elles issues de groupes très radicaux, dont on ne sait pas qui les a financés, ont peint et vandalisé des cathédrales et des temples en signe de leur dégoût face à notre position permanente en défense de la vie de la conception. Toutes les femmes sont très respectables et nous devons continuer à lutter pour leur dignité et leur droit à la reconnaissance, mais nous devons aussi défendre les droits des enfants à naître.

Les chrétiens vont à contre-courant dans ce domaine et dans d’autres et nous attaquent sur la base de notre position morale inspirée par la Parole de Dieu. Jésus nous avait déjà prévenu que si nous voulons être ses disciples, nous nous exposerons à la persécution, à l’incompréhension et à l’antipathie. Lorsqu’un croyant décide de suivre les critères prévalant dans ce monde, contrairement aux commandements divins, il a choisi les ténèbres plutôt que la lumière.

RECONNAÎTRE

Inspiré par le commandement divin de ne pas tuer, le Catéchisme de l’Église catholique déclare : « Le Vie La nature humaine doit être absolument respectée et protégée dès le début Le Conception. Dès le premier instant de son existence, l’homme doit voir accepté son droite depuis Personne, entre Le lequel Le Il Droite inviolable depuis tous Être innocent À Le La vie » (2270).

« À partir de ce siècle D’abord, Le Église a déclaré la méchanceté Moralité de tous les avortements provoqués. Le enseigner NON Ha modifié; restes non modifiable. Il avortement droit, Cela signifie, Trésor comme UN Fin soit comme UN Moitié, Est sérieusement Opposé À Le Loi morale » (2271).

« Quand UN Loi positif Privé À UN catégorie depuis les êtres Personnes depuis Le protection Le l’ordre civil doit, l’État nie Le équivalence de tout avant Le Loi. Si l’État NON met être peut pour le service depuis Le droite depuis tous Citoyens, Et surtout de OMS Est plus loin faible, IL casser Le Les bases lui-même de Condition depuis à droite » (2273).

« Il diagnostic prénatal Est moralement légitime, Oui respect Le Vie Et intégrité de embryon et de fœtus humain, Et Oui IL guide à être protection soit à être Guérir… Mais IL je m’y opposerai sérieusement Le Loi moral en pensant Le Probabilité, en fonction des résultats, provoquer un avortement : un diagnostic qui confirme Le Présence d’une malformation ou d’une maladie héréditaire ne devrait pas être équivalent à un ensemble de Mort »(2274).

ACTE

Valorisons et respectons davantage les femmes chaque jour et continuons à défendre la vie de celles qui tombent enceintes à chaque étape de leur grossesse. Le présent et l’avenir de l’humanité sont en jeu !

Benoîte Favager

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