un pour la sécurité et un pour les services

En juin dernier, l’entreprise technologique française athos a annoncé son intention de scinder son activité numérique et big data en deux sociétés cotées différentes en termes d’activités technologiques, dans le but de promouvoir la valeur ajoutée de l’entreprise. Elle a également anticipé le départ du PDG, Rodolphe Belmer, qui a finalement quitté l’entreprise le 30 septembre.

semblaient qu’ils étaient Litiges entre Belmer et le conseil d’administration à l’occasion des plans de restructuration de l’entreprise. Parce que Belmer voulait se débarrasser de la division de cybersécurité BDS, mais le conseil d’administration veut la garder.

À présent, Atos a déjà fixé une date pour cette opération: Une telle scission sera achevée d’ici la mi-2023, où elle scindera finalement sa division de cybersécurité BDS et la division responsable des opérations de service appelée Evidian. S’adressant à Reuters, Atos a indiqué que la séparation d’Atos aura lieu entre le 1er juillet et le 31 décembre de l’année suivante.

Le besoin d’Atos de prendre de la valeur

Le géant français a dû clarifier ces données en raison des informations parues sur le média français BFM TV, qui a annoncé que la scission serait achevée en juin 2023. Et que son président, Bertrand Meunier, quitterait lui aussi l’entreprise. Atos a voulu le démentir et a assuré Après la scission, « les instances dirigeantes actuelles » seront discutées.

Atos n’a pas connu une bonne année 2021. Malgré une facture de 4,9 milliards d’euros, l’entreprise a perdu la moitié de sa valeur boursière après diverses faillites financières et une tentative avortée de rachat d’une société américaine. Cela s’est traduit par une importante perte de confiance des investisseurs et le départ de deux de ses patrons, Elie Girard et le précité Rodolphe Belmer. Les actions d’Atos ont atteint leur plus bas niveau en 30 ans, le tout dans un climat de scepticisme croissant quant à son plan de restructuration.

après le partage, le reste de l’Athos couvrira les services de gestion de l’infrastructure informatique en déclin et déficitaires qui ont généré 5 % de revenus.400 millions d’euros en 2021.

Zacharie Morel

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